dimanche 30 octobre 2016

Courge Spaghetti au Ragù

La courge spaghetti est un de mes grands coups de cœurs de l’automne : Facile à préparer, très versatile et assez neutre en goût elle d’adapte à toute sortes de sauces et gratins. Après l’avoir cuisinée avec des épinards, des légumes d’été ou des champignons, voici une version à la bolonaise, gratinée au ragù, plat complet équilibré qui ravira toute la famille.
L’idéal est de préparer cette recette la veille (cuisson de la courge et de la sauce) et la gratiner juste au moment du repas. La courge aura ainsi eu le temps de refroidir, et le ragù est évidemment toujours meilleur le lendemain de sa préparation.



vendredi 21 octobre 2016

Petits Pots de Crème à la Vanille (façon La Laitière)

Pour changer des Petits Pots Express à la vanille postés il y a quelques mois sur le blog, ça fait un moment que j’essaie de trouver les proportions de la recette idéale pour « craker » les petits pots de La Laitière, sachant qu’ils contiennent de l’amidon et du lait en poudre et que j’ai voulu me passer de l’un comme de l’autre. Après plusieurs recettes et tentatives diverses, je crois que je tiens la bonne recette, en tout cas celle qui m’a convaincue, avec un résultat à la texture parfaite, ferme, compacte et onctueuse à la fois et un délicieux goût de vanille.

La seule amélioration pour la prochaine fois : Les recouvrir avec du papier alu pour éviter que le dessus ne dore lors de la cuisson (leur donnant ainsi un air de crème renversée !).
J’ai poussé un peu le bouchon en ne lésinant pas sur la crème fraîche, j’imagine qu’avec 1 litre de lait entier, on obtient aussi un résultat tout à fait satisfaisant mais c’était tellement bon comme ça que non, rien de rien, je ne regrette rien….




lundi 17 octobre 2016

Char Kwai Teow (Malaisie, Singapour)

Autrefois repas consistant et peu onéreux des paysans et des pêcheurs, devenu street food par excellence que l’on retrouve à toute heure de la journée dans les échoppes de Malaisie ou Singapour, ce plat issu des communautés chinoises de Singapour est composé de nouilles plates de riz (kwai teow) sautées (char) au wok à très haute température, en général dans une généreuse quantité de saindoux, avec de la sauce soja, du piment, des crevettes, des coques, de la ciboule, des germes de haricots mungo et l’incontournable œuf battu.
J’ai choisi une version avec de la saucisse chinoise lap cheong pour relever le goût, (ça peut aussi être des morceaux de lards frit, pour rester dans le ton J).

C’est très bon, bien parfumé et ça cale. Et l’odeur dans la cuisine m’a emportée dans des rues de Chine dont je garde des souvenirs olfactifs émus…

jeudi 13 octobre 2016

Brocolis Boulga

Soyons clairs, ici on ne fait pas dans la sophistication mais dans le rassasiant et l’efficace. J’ai trouvé l’inspiration de cette recette sur ce blog américain, alors que je désespérais de faire un jour manger des brocolis à ma progéniture.

Le résultat est quelque part entre le gratin (mais en beaucoup plus compact) et l’appareil à tarte (d’ailleurs on pourrait imaginer le mettre sur un fond de pâte). Plat complet, il se réchauffe à merveille pendant 2 ou 3 jours consécutifs, donc pratique pour les repas du soir des parents pressés, et les enfants en redemanderont (si, si je vous jure !).


vendredi 7 octobre 2016

Soupe Taïwanaise aux Nouilles et au Boeuf

Le Niu Rou Mian, un des plats nationaux taiwanais, est une soupe roborative est souvent servie dans des fast-food en Chine, Taiwan ou Hong-Kong, et a même droit à son festival annuel à Taipei. (Le festival existe toujours mais le site web est resté figé en 2005 !)

Il en existe principalement 2 types avec leurs variantes infinies, l’un avec un bouillon clair, et l’autre plus traditionnel avec un bouillon sombre et corsé agrémenté de plusieurs épices, voire même de produits mystérieux de la pharmacopée chinoise dont chaque cuisinier garde jalousement le secret. C’est cette deuxième version que je vous présente ici, sans ingrédient secret, mais vous pourrez toujours faire croire à vos invités qu’il y a de la corne de rhinocéros.

Le résultat est une soupe-repas (un grand bol vous cale largement) très, très riche et goûteuse, avec un bouillon épais parfumé à l’anis qui n’est pas sans rappeler de loin le phô vietnamien.

C’est évidemment un peu longuet à préparer (mais quand on a fait un Bun Bo Huê plus rien ne nous fait peur) mais le résultat en vaut la chandelle.

Cliquez sur les articles un peu exotiques dans la recette pour avoir des explications ou des liens d'achat si vous n’avez pas facilement accès à des épiceries asiatiques. Attention c'est à titre purement indicatif, je n'ai aucune affiliation avec les sites en question, ne les ai pas forcément testés et aucun de mes articles n’est sponsorisé.